Une des couvertures plutôt jolie
Note : 10/20
De : Doris Lessing
Edition : J'ai lu
Année : 2008
Pages : 191
4ème de couverture :
James Reid est un jeune homme romantique dont le principal défaut est d'avoir trop rêvé sa vie avant qu'elle ne commence véritablement. Durant l'été 1939, il embarque pour l'Inde avec son régiiment et, lors d'une escale au Cap, croit trouver en Daphné, jeune femme mariée, le grand amour qu'il attendait. A la fin de la guerre, il apprend que de cette liaison passionnée est né un enfant qui ne se sait pas illégitime. James va alors tout entreprendre pour rencontrer son fils...
Mon avis
Bon, ben que dire, passable.
Je m'attendais à la lecture du résumé, à sortir le mouchoir, à rire aux éclats.
Je n'ai pas sortie les mouchoirs, je n'ai pas eu l'occasion de rire.
Il m'est arrivé certes par moment de sourire.
Pourtant l'histoire commençait bien ! Au début nous faisons la présentation du héros James, jeune socialiste qui s'engage dans l'armée.
Je pensais que l'histoire, clairement débutée.Quelques pages sur son entrainement et puis basta ! Directement le Cap et ben, non.
Le passage sur l'armée s'avèrent être bien la moitié du roman.
Enfin, je dis bien enfin, James est envoyé en mission en Inde mais il a une étape au Cap.
Le passage sur le bateau m'a beaucoup plu, je trouvais le réalisme très prenant mais peut être également écrit avec longueur.
Je peux d'ailleurs vous avouez que je me sentais aussi barbouillé qu'eux ! Nous étions à la limite du naufrage !
Le Cap, décidément l'Afrique du Sud me suit partout ! Un signe ? La quatrième de couverture nous faisait la promesse, d'une rencontre idyllique.
Je ne sais pas si être romantique peut être considéré comme un défaut mais la fleur de peau que je suis n'a pas été servie !
Je m'attendais à une vraie histoire d'amour.
Quand j'ai lu le passage au Cap, la féministe en moi rageait : "il croit que c'est un objet ma parole !"
J'avais la sensation que seulement Daphné vivait cette amour
Lessing pourtant avait bien amené l'histoire, James arrive au Cap il est hébergé par la femme d'un militaire (Daphné), on apprend pendant sa présentation qu'elle aimerait être mère.
Il a le coup de foudre, mais il doit rester que quatre jours.
Ils vont vivre ce long week end passionnément.
Dit comme ça, on s'imagine Jack Dawson et Rose Dewitt Bukater !
Pourtant non, les longueurs répétées et les sentiments non développés rendent l'histoire à la fin sans faveur.
Le passage sur l'Inde,est un tournant. Daphné est enceinte, il en apprend la nouvelle, elle ne désire pas entretenir un lien avec lui. Sa situation de femme mariée lui convient, il accepte ce choix.
Je trouvais ce moment grotesque, le cadre de l'Angleterre aurait collé aussi bien.
Utiliser l'Inde sans développer, je trouve cela sans intérêt.
La deuxième partie du roman, m'a plus davantage.
C'est la fin du service militaire, il est marié et à des enfants. Néanmoins, il cherche à connaitre son enfant avec Daphné.
Il entreprend des recherches, qui vont se solder par des échecs.
Mais, il ne perd pas espoir.
C'est dans cette partie que l'on comprend le titre de l'histoire, car même si il ne connait pas son fils et qu'il le cherche pendant des années.
Pour lui, son fils restera un enfant de l'amour.
Un roman qui se lit vite, on ne peut pas reprocher à Doris Lessing de mal écrire, car c'est ce que j'ai le plus apprécié.
Le rôle de Daphné bien qu'il puisse paraître limité à la lecture de mon avis, est un dynamisme à l'histoire et j'ai d'ailleurs apprécié son rôle.
Je déplore malheureusement, l'histoire globalement qui était en dessous de mes espérances.
Mon avis
Bon, ben que dire, passable.
Je m'attendais à la lecture du résumé, à sortir le mouchoir, à rire aux éclats.
Je n'ai pas sortie les mouchoirs, je n'ai pas eu l'occasion de rire.
Il m'est arrivé certes par moment de sourire.
Pourtant l'histoire commençait bien ! Au début nous faisons la présentation du héros James, jeune socialiste qui s'engage dans l'armée.
Je pensais que l'histoire, clairement débutée.Quelques pages sur son entrainement et puis basta ! Directement le Cap et ben, non.
Le passage sur l'armée s'avèrent être bien la moitié du roman.
Enfin, je dis bien enfin, James est envoyé en mission en Inde mais il a une étape au Cap.
Le passage sur le bateau m'a beaucoup plu, je trouvais le réalisme très prenant mais peut être également écrit avec longueur.
Je peux d'ailleurs vous avouez que je me sentais aussi barbouillé qu'eux ! Nous étions à la limite du naufrage !
Le Cap, décidément l'Afrique du Sud me suit partout ! Un signe ? La quatrième de couverture nous faisait la promesse, d'une rencontre idyllique.
Je ne sais pas si être romantique peut être considéré comme un défaut mais la fleur de peau que je suis n'a pas été servie !
Je m'attendais à une vraie histoire d'amour.
Quand j'ai lu le passage au Cap, la féministe en moi rageait : "il croit que c'est un objet ma parole !"
J'avais la sensation que seulement Daphné vivait cette amour
Lessing pourtant avait bien amené l'histoire, James arrive au Cap il est hébergé par la femme d'un militaire (Daphné), on apprend pendant sa présentation qu'elle aimerait être mère.
Il a le coup de foudre, mais il doit rester que quatre jours.
Ils vont vivre ce long week end passionnément.
Dit comme ça, on s'imagine Jack Dawson et Rose Dewitt Bukater !
Pourtant non, les longueurs répétées et les sentiments non développés rendent l'histoire à la fin sans faveur.
Le passage sur l'Inde,est un tournant. Daphné est enceinte, il en apprend la nouvelle, elle ne désire pas entretenir un lien avec lui. Sa situation de femme mariée lui convient, il accepte ce choix.
Je trouvais ce moment grotesque, le cadre de l'Angleterre aurait collé aussi bien.
Utiliser l'Inde sans développer, je trouve cela sans intérêt.
La deuxième partie du roman, m'a plus davantage.
C'est la fin du service militaire, il est marié et à des enfants. Néanmoins, il cherche à connaitre son enfant avec Daphné.
Il entreprend des recherches, qui vont se solder par des échecs.
Mais, il ne perd pas espoir.
C'est dans cette partie que l'on comprend le titre de l'histoire, car même si il ne connait pas son fils et qu'il le cherche pendant des années.
Pour lui, son fils restera un enfant de l'amour.
Un roman qui se lit vite, on ne peut pas reprocher à Doris Lessing de mal écrire, car c'est ce que j'ai le plus apprécié.
Le rôle de Daphné bien qu'il puisse paraître limité à la lecture de mon avis, est un dynamisme à l'histoire et j'ai d'ailleurs apprécié son rôle.
Je déplore malheureusement, l'histoire globalement qui était en dessous de mes espérances.
Puis il s'endormit et elle rentra dans la maison, troublée. Oh oui ! extrêmement troublée, même si elle n'eût su dire pourquoi. Un pauvre gamin abandonné, à moitié mort de faim, mais qui avait retrouvé son odeur d'homme... Le coeur de Daphné battait la chamade.
3 blablas:
Bon ben je passe. Ce n'est pas vraiment mon genre de lecture alors si en plus c'est passable il vaut mieux que je ne m'arrête pas dessus.
@Belledenuit : oui je ne conseille pas spécialement cette lecture =)
kikoo !
J'ai essayé un livre d'elle Le carnet d'or j'ai jamais pu passer le premier carnet. J'ai trouvé ça plus chiant que bien. Pourtant certains passages mon vraiment plu mais je trouve qu'ils ne sont pas assez nombreux par rapport aux autres.
Peut être que je le reprendrais un jour...
Bon dimanche et belle semaine.
Florel.
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